samedi 20 décembre 2014

Bienvenue dans la soupe

Je souhaiterais prévenir qu'il ne s'agit aucunement de déprimer qui que ce soit ici, mais d'éclairer sur la situation réelle des rapports entre santé et environnement. Cette situation peut se dérober au regard du promeneur badin, mais crève les yeux aux spectateur curieux et fouineur. La situation telle qu'elle se présente est bien plus que simplement inquiétante. Je ne pense pas exagérer en disant qu'il en va de notre survie. Si nous ne voulons pas être cuisinés à petit feu pour finir à point bien avant l'âge, nous n'avons pas d'autre choix que de tourner notre regard vers ce bourbier, vers cette soupe de toxines de plus un plus épaisse, vers ce qui ne devrait pas être mais est, à cause de la folie, de l'avidité et de l'ignorance des Hommes qui mettent en péril notre longévité et la possibilité d'une vie en bonne santé.

mardi 2 décembre 2014

Nous ne sommes pas seuls dans la marmite

Après une pause d'été un peu plus longue que prévu, je reprends enfin le clavier pour partager avec vous une émission radio de France Culture et j'en profite aussi pour confirmer que ce blog est bien vivant ! Dans mon prochain article je partagerai mes premières expériences pendant les huit premiers tours de chélation selon le protocole Cutler, et je vous parlerai aussi de mes premières erreurs. Étant débordé par le travail, la nouvelle maison ainsi qu'un état de santé précaire dû à ces erreurs commises durant la chélation, je ne pourrai pas terminer le prochain article avant les fêtes. Laissez moi des commentaires si vous êtes intéressé(e)s.

Mais pour nous donner un peu d'espoir, voici une émission de France Culture qui parle des "mercuriens", les intoxiqués au mercure et aux métaux lourds. Je dois avouer que l'idée que ces connaissances soient transmises à la radio me soulage et ouvre des perspectives pour tant de personnes qui passent de médecin en médecin sans trouver la cause des causes. Quelle cause ?

mardi 1 juillet 2014

Notre époque moderne, un âge mercuriel ?

Avant de partir en vacances et sachant que les résultats de mes analyses de cheveux arriveront pendant mon absence, j'ai décidé d'écrire un article "hors plan". Cet article est la première partie de ce que l'on pourrait appeler "Une petite histoire du mercure - entre histoire de la médecine et psychanalyse du mercure", où je livrerai une vision tout à fait subjective des choses, une vision qui s'est enrichie de mes différentes lectures et rencontres et qui embrasse une approche holistique, globale et respectueuse de la nature et des ses principes et lois.

Notre médecine officielle, sous le joug de big pharma, peut se révéler d'une efficacité souhaitable dans des situations d'urgence et de danger de mort, mais elle me paraît très déficiente, voire dangereuse en matière de prévention et de guérison de déséquilibres physiques ou psychologiques, notamment chroniques. Ces défaillances deviennent particulièrement transparentes si on se penche sur l'histoire de notre médecine scientifique moderne, sur l'idéologie qui la sous-tend et qui l'a fait naître. Avant de me pencher sur le rôle qu'a joué le mercure dans l'évolution de notre médecine matérialiste, j'explorerai dans cet article la "nature" du mercure, son essence. Entre l'histoire de la médecine et "psychanalyse" du mercure, j'essaierai de dégager l'étonnante concordance avec les symptômes de notre monde moderne grâce à un article de l'éthno-botaniste allemand Wolf-Dieter Storl

lundi 9 juin 2014

Besoin de preuve ?

Il n'est pas question dans cet article de vouloir "convaincre" de la nocivité et du danger des amalgames dentaires ou pire encore, de vouloir la prouver. Les preuves sont écrasantes pour peu qu'on s'y intéresse et qu'on fasse ses recherches. Sur internet, tout y est: les rapports de recherche scientifique, les résumés et conclusions des commissions scientifiques de l'union européenne et des différents états-membres. Cela dit, je suis toujours stupéfait par ce besoin qui veut tout prouver "scientifiquement" pour que cela existe. Pour ma part, je n'ai pas besoin de preuves scientifiques, le bon sens me suffit:
  • vous prenez le métal lourd le plus toxique au monde qui est aussi la troisième substance la plus toxique au monde, classée dans les déchets dangereux et soumise à une réglementation stricte pour le stockage et le transport.
  • vous la mélangez à moitié avec d'autres métaux lourds et toxiques pour en faire un amalgame
  • puis vous l'entreposez dans la bouche en affirmant qu'il n'y a aucun risque.
  • et si jamais vous l'enlevez de la bouche, elle redevient instantanément un déchet dangereux soumis à la réglementation des déchets spécifiques. (Voir aussi ce document.)

jeudi 29 mai 2014

Vous avez dit symptômes ?

(suite du dernier article "D'où je pars". Cet article explore de manière superficielle les symptômes d'une intoxication au mercure. On retrouve peu ou prou les mêmes symptômes pour toute la pléthore de toxines et substances chimiques qui s'accumulent dans nos organismes.)

Quels sont donc ces symptômes et qu'est-ce qui me porte à croire qu'une intoxication au mercure et à la soupe en est le principal responsable?

Nous vivons dans une drôle d'époque. Au cours des six dernières années de recherche et d'investigation, de consultations et de traitements, toujours à la poursuite de la cause des causes de mes symptômes, j'ai eu affaire à de nombreuses affections: lyme, candida, intolérance au gluten, au lait, électro-sensibilité aux ondes, les pesticides et autres pollutions environnementales, et récemment le "pyrrole disorder" ou la pyrroluria ou encore HPU/KPU, affection dont les anglophones semblent bien plus au courant que nous, puisque j'ai eu grande difficulté à trouver le nom français de ce trouble.

mercredi 21 mai 2014

D'où je pars...

D'où je pars pour écrire ce blog ?

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il serait peut-être utile que je me situe un peu dans cette histoire. Je fais donc un petit flashback sur ce qui m'a amené à suspecter d'abord une intoxication chronique au mercure comme principal coupable de mes problèmes de santé puis à élargir cette suspicion à l'ensemble des poisons qui nous entourent.

Cela fait à peu près six ans maintenant que je me traîne avec des symptômes "bizarres", qui vont et viennent, et j'ai inculpé beaucoup de maladies que je croyais être à l'origine de ces troubles qui n'étaient au début tout juste pas assez graves et réguliers pour aller consulter. Au fil du temps, je me disais de plus en plus souvent que mon état de santé était en train de se dégrader (fatigue chronique, baisse de la concentration et de la mémoire, essoufflement, faiblesse musculaire, mauvaise digestion et j'en passe).

Raison d'être de ce blog

Il y a plus d'un an, j'ai commencé à suspecter mes amalgames dentaires d'être responsables de mon état de santé précaire et chronique. En me documentant sur le sujet, notamment grâce au site non-au-mercure-dentaire.org et en lisant les livres du docteur allemand Joachim Mutter, j'ai décidé de passer à l'action et de me faire enlever mes plombages. La dépose n'a pas été faite selon les règles de l'art et a ajouté à la charge en mercure de mon organisme. Il fallait donc trouver un bon protocole de chélation. Mon choix s'est porté sur le protocle Cutler, du nom du chimiste américain Andrew Cutler qui expose ce protocole dans son livre "amalgam illness". J'ai commencé ce protocole en juillet 2014. Début septembre, je me sentais déjà beaucoup mieux, mieux que jamais à vrai dire. Pris d'un élan d'optimisme, je me suis lancé dans trois tours de chélation supplémentaires avec des doses trop élevées et d'autres erreurs et omissions que je documenterai dans ce blog.