jeudi 29 mai 2014

Vous avez dit symptômes ?

(suite du dernier article "D'où je pars". Cet article explore de manière superficielle les symptômes d'une intoxication au mercure. On retrouve peu ou prou les mêmes symptômes pour toute la pléthore de toxines et substances chimiques qui s'accumulent dans nos organismes.)

Quels sont donc ces symptômes et qu'est-ce qui me porte à croire qu'une intoxication au mercure et à la soupe en est le principal responsable?

Nous vivons dans une drôle d'époque. Au cours des six dernières années de recherche et d'investigation, de consultations et de traitements, toujours à la poursuite de la cause des causes de mes symptômes, j'ai eu affaire à de nombreuses affections: lyme, candida, intolérance au gluten, au lait, électro-sensibilité aux ondes, les pesticides et autres pollutions environnementales, et récemment le "pyrrole disorder" ou la pyrroluria ou encore HPU/KPU, affection dont les anglophones semblent bien plus au courant que nous, puisque j'ai eu grande difficulté à trouver le nom français de ce trouble.

mercredi 21 mai 2014

D'où je pars...

D'où je pars pour écrire ce blog ?

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il serait peut-être utile que je me situe un peu dans cette histoire. Je fais donc un petit flashback sur ce qui m'a amené à suspecter d'abord une intoxication chronique au mercure comme principal coupable de mes problèmes de santé puis à élargir cette suspicion à l'ensemble des poisons qui nous entourent.

Cela fait à peu près six ans maintenant que je me traîne avec des symptômes "bizarres", qui vont et viennent, et j'ai inculpé beaucoup de maladies que je croyais être à l'origine de ces troubles qui n'étaient au début tout juste pas assez graves et réguliers pour aller consulter. Au fil du temps, je me disais de plus en plus souvent que mon état de santé était en train de se dégrader (fatigue chronique, baisse de la concentration et de la mémoire, essoufflement, faiblesse musculaire, mauvaise digestion et j'en passe).

Raison d'être de ce blog

Il y a plus d'un an, j'ai commencé à suspecter mes amalgames dentaires d'être responsables de mon état de santé précaire et chronique. En me documentant sur le sujet, notamment grâce au site non-au-mercure-dentaire.org et en lisant les livres du docteur allemand Joachim Mutter, j'ai décidé de passer à l'action et de me faire enlever mes plombages. La dépose n'a pas été faite selon les règles de l'art et a ajouté à la charge en mercure de mon organisme. Il fallait donc trouver un bon protocole de chélation. Mon choix s'est porté sur le protocle Cutler, du nom du chimiste américain Andrew Cutler qui expose ce protocole dans son livre "amalgam illness". J'ai commencé ce protocole en juillet 2014. Début septembre, je me sentais déjà beaucoup mieux, mieux que jamais à vrai dire. Pris d'un élan d'optimisme, je me suis lancé dans trois tours de chélation supplémentaires avec des doses trop élevées et d'autres erreurs et omissions que je documenterai dans ce blog.