mardi 1 juillet 2014

Notre époque moderne, un âge mercuriel ?

Avant de partir en vacances et sachant que les résultats de mes analyses de cheveux arriveront pendant mon absence, j'ai décidé d'écrire un article "hors plan". Cet article est la première partie de ce que l'on pourrait appeler "Une petite histoire du mercure - entre histoire de la médecine et psychanalyse du mercure", où je livrerai une vision tout à fait subjective des choses, une vision qui s'est enrichie de mes différentes lectures et rencontres et qui embrasse une approche holistique, globale et respectueuse de la nature et des ses principes et lois.

Notre médecine officielle, sous le joug de big pharma, peut se révéler d'une efficacité souhaitable dans des situations d'urgence et de danger de mort, mais elle me paraît très déficiente, voire dangereuse en matière de prévention et de guérison de déséquilibres physiques ou psychologiques, notamment chroniques. Ces défaillances deviennent particulièrement transparentes si on se penche sur l'histoire de notre médecine scientifique moderne, sur l'idéologie qui la sous-tend et qui l'a fait naître. Avant de me pencher sur le rôle qu'a joué le mercure dans l'évolution de notre médecine matérialiste, j'explorerai dans cet article la "nature" du mercure, son essence. Entre l'histoire de la médecine et "psychanalyse" du mercure, j'essaierai de dégager l'étonnante concordance avec les symptômes de notre monde moderne grâce à un article de l'éthno-botaniste allemand Wolf-Dieter Storl