Notre médecine officielle, sous le joug de big pharma, peut se révéler d'une efficacité souhaitable dans des situations d'urgence et de danger de mort, mais elle me paraît très déficiente, voire dangereuse en matière de prévention et de guérison de déséquilibres physiques ou psychologiques, notamment chroniques. Ces défaillances deviennent particulièrement transparentes si on se penche sur l'histoire de notre médecine scientifique moderne, sur l'idéologie qui la sous-tend et qui l'a fait naître. Avant de me pencher sur le rôle qu'a joué le mercure dans l'évolution de notre médecine matérialiste, j'explorerai dans cet article la "nature" du mercure, son essence. Entre l'histoire de la médecine et "psychanalyse" du mercure, j'essaierai de dégager l'étonnante concordance avec les symptômes de notre monde moderne grâce à un article de l'éthno-botaniste allemand Wolf-Dieter Storl
Comme expliqué dans un article précédent, les symptômes de nombre de maladies chroniques "modernes" se recoupent, ce qui m'a amené à attribuer mon mal-être tantôt à la pyrrolurie, tantôt à la candidose, tantôt à des parasites, tantôt à la maladie de lyme (ou borréliose), ayant été piqué par une tique il y a de cela quelques années. Je me suis donc plongé dans un livre passionnant, écrit par un druide-shamane-éthnologue-botaniste-médico-historien allemand du nom de Wolf-Dieter Storl. Le livre porte le titre de "Borreliose natürlich heilen" – "Guérir naturellement de la maladie de Lyme" – qui est disponible en français depuis peu.
Dans sa dernière partie, Storl se penche sur l'histoire médicale de la syphilis – grande sœur de la borréliose – et dévoile par un travail synthétique jubilatoire comment l'histoire des spirochètes syphilitiques est étrangement et significativement liée au mercure. Ne possédant que la version allemande, je ne me propose pas de traduire ce chapitre dans son intégralité, mais de paraphraser ma compréhension de ce chapitre tout en ajoutant des précisions en rapport avec l'intoxication au mercure ou alors mon propre point de vue.
1. Hahnemann et l'homéopathie
Au début du XIXe siècle déjà, le fondateur de l'homéopathie, le médecin allemand Samuel Hahnemann, s'insurgeait contre les pratiques médicales de son époque : saignée, pansements irritants pour la peau, pilules hautement toxiques, des vomitifs et laxatifs violents, des pommades et potions à base de composés de mercure, d'arsenic, d'acide sulfurique et de métaux lourds. Selon Hahnemann, ces pratiques affaiblissaient les malades et les rendaient encore plus souffrants. De nos jours, tout le monde connaît l'homéopathie, et de plus en plus de personnes y recourent pour soigner les bobos du quotidien. A part les principes de « guérir le semblable par le semblable » et de dilution, peu de gens par contre sont au courant de l'approche pour le moins visionnaire qui animait les trouvailles de Hahnemann :
Tous les êtres sont animés d'une sorte de force de vie, appelée la dynamis, dont le corps est entièrement pénétré et qui maintient les processus nécessaires à la vie. Si ce principe vital quitte le corps, la personne meurt. Le paragraphe 9 de l'Organon de Hahnemann dit : « La force vitale et spirituelle, donnant vie en tant que dynamis au corps matériel, règne souverainement dans tout l'être humain en bonne santé et assure que toutes ses parties se maintiennent dans une marche de vie admirablement harmonieuse au niveau émotionnel ainsi que dans l'action, de façon à ce que notre esprit puisse se servir de cet outil vivant et plein de santé pour se consacrer librement aux buts plus élevés de notre existence. »
Hahnemann reproche à ses collègues « allopathes », comme il les appelle, d'en rester aux symptômes et – à coup de saignée, de scalpel, de substances chimiques toxiques et d'autres méthodes invasives – d'essayer de faire disparaître les symptômes, puis de parler de « guérison » en en cas de réussite, alors qu'ils n'auraient fait que repousser la maladie plus profondément vers l'intérieur du corps, de la peau vers les muscles et les os, et s'ils étaient particulièrement « efficaces », jusque dans les organes internes et le système nerveux. Mais le parcours normal d'une maladie procède de l'intérieur vers l'extérieur, d'où la recrudescence de certains symptômes au début d'un traitement à l'homéopathie bien mené : depuis les organes internes jusqu'à la peau qui peut donc manifester des boutons, des tâches ou des excroissances, tous signes d'une bonne marche du processus de guérison et non pas des symptômes d'une maladie qu'il faudrait combattre. En combattant donc les symptômes tout ce que les médecins allopathes arrivent à faire, c'est affaiblir la dynamis, la force vitale de leurs patients. Selon Hahnemann, une véritable science de la guérison, par contre devrait veiller à conserver et à augmenter cette force. Pour ce faire il est crucial que chaque être humain prenne soin de ce qu'il mange et boit, de vivre dans un lieu sain, de profiter de l'air frais, de l'exercice physique et d'éviter les mauvaises humeurs et le chagrin, ainsi que bien sûr des traitement médicaux inappropriés. (Hahnemann, Organon, §77, §79) (Il va sans dire que notre mode de vie citadin et moderne a intrinsèquement du mal à vivre selon ces principes pourtant simples)
Au bout de nombreuses années d'expériences cliniques, Hahnemann en arriva à la conviction que la contrariété de la force vitale se manifeste dans les maladies chroniques et repose sur trois miasmes différents (du grec miasma, ce qui est tâché, souillé, émanations pathogènes). Il appela ces trois maux de base psora, sykosis et syphilis et constata qu'ils se manifestent dans une multitude de maux cliniques. Pourquoi ces noms ? Car ils font référence aux manifestations premières de ces maux de base sur la peau, les éruptions cutanées pour le psora, les verrues pour la sykosis et les excroissances et tumeurs pour la syphilis.
Mais si Hahnemann parle par exemple de syphilis, il n'a pas exclusivement à l'esprit la seule maladie vénérienne connue sous le nom de syphilis et provoquée par ses spirochètes, mais une multitude de maladies dont la symptomatique se caractérise par la dégénération et la destruction de tissus, de dysfonctionnements organiques, de tumeurs et de spasmes, telles que l'ostéoporose, la myopathie, l'Alzheimer, Parkinson, le SIDA, la toxicomanie et addictions en tous genres, tendances suicidaires, perversions etc.
2. L'homéopathie et le mercurius solubilis
Ce qui m'a rendu très curieux, c'est de voir quel remède homéopathique principal Hahnemann avait trouvé pour traiter les affections dues au miasma de la syphilis. Vous l'aurez deviné : le mercure ! Bien évidemment en dilution homéopathique. Mais pour nous mercuro-toxiques, le mercurius solubilis – même à doses homéopathiques – reste toxique ! Le docteur Klinghardt dit à ce propos : « Avec le mercure en dilution homéopathique les membranes de la cellule ouvrent la porte au mercure. S'il se trouve plus de mercure dans les tissus que dans la cellule, et que la membrane de la cellule s'ouvre, le mercure suit le gradient osmotique et s'introduit dans la cellule ».( Le docteur Klinghardt est l'un des papes américains de la maladie de lyme. Il propose également un protocole de chélation à base de coriandre, d'ail des ours et de chlorella, et de DMPS) Dans son manuel de l'homéopathie « Lehrbuch Homöopathie, Grundlagen und Anwendung », le docteur Gerhard Köhler écrit à la page 114 : « Le mercure en tant que mercurius solubilis garde un effet toxique sur la flore buccale et intestinale jusqu'à la dilution CH6. »
Il reste cependant le fait que pour avoir choisi le mercurius solubilis comme traitement principal du miasme nommé syphilis, le mercure doit posséder une équivalence en termes de nature avec toutes ses maladies qui rentrent dans la nature de la syphilis.
3. Le mercure et la nouvelle syphilis
Selon les homéopathes classiques, les maladies des temps jadis étaient plutôt d'une nature psoras ou sykosis, alors que de nos jours elles sont de plus en plus déterminées par le miasma de syphilis. Nous vivons dans une époque syphilitique, dans un état de « syphilisation » croissante – et j'ai envie d'ajouter de « mercurisation » croissante, car les maladies associées à la syphilis de Hahnemann et les maladies associées à l'intoxication au mercure concordent.
La grande épidémie de la syphilis (pour différencier cette maladie vénérienne particulière du miasme générique du même nom selon Hahnemann, je mettrai le miasme en italiques), qui éclata au XVIe siècle, a été dans un premier temps réprimée par le mercure, puis par une préparation à l'arsenic, le Salversan, et depuis 1928 par la pénicilline. A l'époque actuelle, sur plan physique, cette maladie refait son apparition sous la forme du SIDA, du cancer et des maladies auto-immunes. Sur le plan des pathologies sociales ce miasme destructeur sévit par le terrorisme, les attentats-suicides, les addictions aux drogues comme le crack et l'héroïne mais aussi par l'alcoolisme et le tabagisme, la fission nucléaire, et l'ingénierie génétique où des apprentis sorciers neuro-syphilitiques s’attellent à décomposer la matière et à chaotiser le patrimoine génétique. Cela trouve son écho dans la dissolution de la communauté et la chaotisation des familles, entre autres manifestations de la décadence.
4. L'achétype du mercure, l'esprit de la syphilis
Selon le panthéon ancien et selon l'analogie alchimique, ce métal liquide et chatoyant est associé au dieu Mercure, le dieu aux chaussures ailées. En tant que planète visible dans le ciel, il court au devant des autres planètes : il traverse le zodiaque, toujours à proximité du soleil, en 88 jours. Mars le traverse en deux ans, Jupiter en douze ans et le vieux saturne en trente ans. Mercure, connu des grecs sous le nom d'Hermès, est le messager des dieux, l'ambassadeur, et en tant que tel le maître de la parole, de la raison et de l'intellect. Dans les temps anciens, il apprit aux hommes à user de la pensée et de la parole, et leur enseigna par là-même le mensonge et l'hypocrisie. C'est un dieu shamanique, un passeur de frontières qui les franchit toutes, y compris celles du royaume des morts qu'il escorte vers le rois des enfers Hadès. En sa qualité de passeur de frontières, il est le saint patron des thérapeutes, des médecins et des commerçants, mais également des escrocs, des voleurs, des menteurs, des espions et ... des acteurs. Il passe pour le maître du camouflage, ses masques sont multiples, partout il passe incognito.
Le symbole de Mercure est le serpent. Son attribut est le caducée, un bâton entouré de deux serpents entrelacés. Le caducée sert de symbole aux médecins et aux pharmaciens. Il exprime le savoir du poison et de son antidote dans l'image de deux vipères se faisant face et s'entrelaçant autour d'un bâton. Au fond, il s'agit d'un bâton shamanique, d'une baguette magique. Puisque Mercure est maître de ce qui traverse les frontières: la circulation des personnes et des marchandises et le flux des devises, il est également souverain des commerçants qui eux-aussi ont comme symbole le bâton aux serpents : c'est le signe du Dollar ($).
Dans le corps, Mercure est responsable des poumons, dont le souffle relie le monde intérieur au monde extérieur, l'âme de la personne à l'âme du monde. Il s'occupe également de la lymphe dont il assure le mouvement, selon la vision ancienne des humeurs. Mercure ou Hermès franchit également les barrières du genre et il est transsexuel, hermaphrodite. Mais il sait aussi franchir les limites de la bienséance, car il est le baratineur, le hâbleur, le politique du talk-show qui n'a que promesses, le roublard rusé et le bouffon à la cour de Jupiter, le dieu des dieux. En espiègle fripon, il est le seul qui peut dire au roi ce qu'aucun autre n'oserait lui dire – par moment même la vérité crue.
5. Age syphilitique, âge mercuriel ?
Il n'est pas difficile de reconnaître dans cet archétype que le principe symbolisé par Mercure est le souverain de notre époque. Son règne a débuté vers la fin du XVe siècle, au moment où ont éclaté les limites de l'idéologie du Moyen-Âge et où débuta l'époque du commerce mondial. En tant que dieu de la raison et du commerce international, il inaugura l'ère des horloges et de la mécanique. L'ère de la science et des machines démarra. Les dépositaires du savoir ancien et "superstitieux" étaient forcés d'abdiquer. Son avènement était marqué par l'épidémie de la syphilis, la maladie serpentine, qui se répandit comme un feu de paille.
Tout comme la syphilis, les spirochètes responsables de la borréliose se présentent comme des serpents très agiles, difficiles à saisir, imitant un nombre inimaginable de maladies. Ils sont maîtres du camouflage : ils se métamorphosent constamment, perdent leur aspect de serpents et prennent la forme des petites boules, se rendent pratiquement invisibles, s'encapsulent pour reprendre ensuite leur aspect spiralé de serpents. Ni dans les tests, ni dans le laboratoire il ne se laissent prendre. Eux-aussi sont des passeurs de frontières : aisément ils passent la barrière hémato-encéphalique censée protéger le cerveau des intrus indésirables, sans problèmes ils transmigrent d'une espèce animale à l'autre, des tiques au souris, aux biches, à l'homme, aux lézards etc. Ils appartiennent à l'époque de
Mercure qui lui aussi sait imiter presque toutes les maladies imaginables, passe la frontière hémato-encéphalique, est difficile à saisir, se dérobe aux analyses médicales directes, se cache pour réapparaître soudainement, provoque des symptômes erratiques et dégénérescents. Le mercure, ce métal extraordinairement mobile, "l'argent rapide" - quicksilver en anglais - ne connaît pas la fin, l'arrivée, le repos. Il est inconstant et capricieux, impondérable, quelque part entre le solide et le volatil, cependant très adaptable. Constamment menacé de dissolution, le mercure tente de trouver son propre milieu, la force tranquille et stable du centre sans jamais la trouver. Aucun autre principe représente aussi inconditionnellement l'écart entre destruction totale et liberté absolue.
Au vu de cette synthèse faite par Wolf-Dieter Storl, je suis moi-aussi tenté de voir dans les expressions économiques, sociales et psychologiques de notre époque la gouvernance d'un principe mercuriel. Notre époque fonce à tombeau ouvert vers un cataclysme sans nom. Commerçants, hommes d'affaires, ambassadeurs, hommes d'état et flux de touristes voyagent à vitesse supersonique autour du monde, qui est devenu un "One World" globalisé. Les frontières tombent : celles des pays, des sexes, de la bienséance aussi. Les satellites, l'internet, et les ondes transmettent en continu un déluge de données, d'images et d'informations qu'aucune âme au monde ne saurait digérer sans y laisser sa santé mentale. Les bourses traitent des billions de dollars, d'euros et de yens virtuels en une fraction de seconde. Les drogues et psychotropes donnent l'impression de faire tomber des barrières métaphysiques, que jadis les shamanes n'arrivaient à franchir que par une ascèse spirituelle rigoureuse. Plus rien ne va réellement en profondeur. On surfe sur la vague de l'efficacité immédiate, fascinés que nous sommes par l'aspect chatoyant de ce dieu-métal qui n'a pas la sagesse de Jupiter ni la placidité de Saturne. Son règne propulse à des positions d'hommes d'état et de gouverneurs des acteurs et des divertisseurs, ceux-là même qui autrefois appartenaient à la classe des mendiants et du peuple des foires. On se prosterne devant la frivolité de la télé-réalité, on vénère comme un dieu une technologie sans âme, et on partage sur les réseaux sociaux avec des centaines d'amis sans visage un reflet élaboré de soi-même dans la solitude de son salon.
8 commentaires:
Bonsoir,
J'aimerai savoir ou vous en êtes de votre chélation via le protocole A.Cutler, l'ayant aussi commencé je souhaite partager cette expérience avec vous...
A Bientôt !
Vincent
Bonsoir,
Il est très dommage de ne pas avoir de vos nouvelles...j'espère que vous n'avez pas décidez de stopper ce blog qui promettais d'être riche et passionnant :)
Vincent
Bonjour Vincent,
Merci beaucoup pour votre commentaire. Je ne m'étais effectivement plus trop occupé de mon blog. D'un côté par manque de temps (nous venons d'emménager dans une nouvelle maison) et d'un autre côté: je voulais vraiment avancer dans ma chélation et ressentir les premiers résultats avant de continuer à écrire.
J'avoue aussi que le fait de n'avoir eu aucun retour sur mon blog jusque-là, me posait question. J'ai dans mon entourage quelques personnes proches qui étaient intéressées par la chélation, mais elles passaient par moi, et non pas par mon blog. Je me suis donc demandé si mon blog n'est pas "de trop", car ce sujet est, je pense, largement traité par le forum Mélodie, mais à mon sens de manière très chaotique, puisqu'il s'agit justement d'un forum.
Grâce à vos commentaires je me demande s'il y a finalement une place pour ce blog...
Je serais ravi d'échanger nos expériences avec vous. J'aurai peut-être le temps d'écrire le prochain article pendant les vacances de le Toussaint, mais les travaux dans la maison n'attendent pas ... :-)
Mais rien n'empêche de nous échanger sur ce blog même.
Merci et à bientôt j'espère.
Gilles
Bonsoir Gilles,
Je lis vote retour avec grand plaisir ce soir, je me réjouis de pouvoir partager, expériences, points de vu, informations, déconvenues ...
Oui! a mon sens il y a ( largement ) de la place pour votre blog, pour beaucoup de raisons; je vous en donne deux :
- les témoignages et expériences françaises vécues avec le protocole de chélation Cutler sont rares, voir inexistantes.
- Votre ton, votre écriture, votre style tout en précautions, votre regard, votre pertinence et humour... sont pour moi précieux et très rares...
Allez j'en ajoute une troisième,(de raison )
la petite expérience du forum de vivre cru ( si vous l'avez connu ) a montrée que la partie concernant les métaux lourds était trés largement la plus active et la plus consultée ... c'est d'ailleurs la-bas à l'époque que j'eu fais la connaissance du protocole A.Cutler...
Par contre, je ne sait pas si l'échange peut être fructueux,par écrit
- je n'ai pas vos talents ;)
- Les troubles cognitifs qui me perturbes, réveillent trop souvent des complexes qui me cantonnent a rester derrière mon écran ...
...
J'espère vivement que ce premier échange par le biais de votre "super" blog soit les prémices d'un beau support d'échanges pour toutes les personnes et les autres qui se battent pour retrouver la santé...
A Trés bientôt de vous lire...
J'oserai, si nécessaire faire un résumer de là ou j'en suis...
Bien à vous,
Vincent
Merci, Vincent, d'avoir répondu si promptement et merci pour vos encouragements. Il y a tant de choses à dire et à partager... En voulant rassembler quelques idées pour un prochain article, je me suis rapidement retrouvé enseveli sous une pléthore de choses à dire d'ailleurs impossibles à caser dans un seul article. Il faut donc que je recommence doucement à ordonner mes pensées et les expériences des trois derniers mois sous le protocole.
Je serais effectivement très intéressé par un résumé d'où vous en êtes. Je reste persuadé que nous avons tous à y gagner à partager nos expériences avec ce protocole, d'autant plus que - comme vous dites - les récits d'expériences en langue française concernant ce protocole ne courent pas les forums.
Je pense que si vous vous inscrivez sur blogger (c'est un service google, donc je crois que cela revient à créer un compte google), je pense que cela permet de s'envoyer des messages privés. Je pourrai ainsi vous donner mon adresse email.
Je serai absent à partir de lundi pour toute la semaine prochaine sans possibilité d'accéder à internet. Je reviendrai sur notre échange à partir de lundi dans une semaine.
Merci encore pour votre chaleureux commentaire, je vous souhaite une chélation réussie. A bientôt.
Gilles
Bonsoir Gilles,
Je suis maintenant enregistré,
Est-ce suffisant pour passer en privé..?
A bientôt,
Vincent
Bonsoir Vincent,
Je suis désolé, je n'ai pas trouvé la fonction dont je parlais dans mon commentaire précédent... J'ai donc rendu public mon adresse mail blogger sur mon profil. Donc tout ce que vous avez besoin de faire, c'est de cliquer sur mon profil (la terre en coeur), et cliquer sur "contactez-moi". Ainsi j'aurai votre adresse email, et je vous renverrai un mail avec mon adresse privée. (Mon adresse gmail je ne la consulte quasiment jamais)
Je viens de terminer mon 5e round qui a été très sport, j'ai donc hâte d'entendre vos expériences.
Je repars demain jusqu'à la fin de la semaine (vacances obligent... ;-) et ne pourrai donc lire votre email que lundi prochain, désolé.
Dès que les effets de mon dernier round s'estomperont, je passe directement au suivant. Je vous tiens au courant.
Bonne semaine à vous et à bientôt
Gilles
Bonsoir Gilles,
Un tout petit message, pour commencer les retours d'expériences et pour commencer un échange qui j'espère sera fructueux...
Étant donner qu'il y a beaucoup de paramètres à prendre en compte, pour vraiment établir des formes de comparaisons entre les expériences de chacun, je vous donne directement le résultat de mes tours Cutler:
Après 11 tours de 11 week-ends du vendredi à lundi midi, avec 25 ml ALA et 25 ml DMSA, plus prise de vitamine C à 5 ou 6 g, + poudre de Thierry C. ( surrénales & autres ) alimentation à 90 % cru, depuis presque 2 ans, le résultat est le suivant :
Arrêt du traitement pour crash surrénalien en perspective ...
Ca paraît brusque, vu comme ça, ça l'a été... par contre je suis persuadé que le traitement fonctionne, je vous parlerais des détails plus tard...je pense que c'est aussi un traitement qu'il faut ressentir pour trouver le bon dosage, mais si l'on est à plat, les conséquences, comme toutes les chélations d'ailleurs peuvent avoir des répercussions d'aggravation des symptômes, très sérieuses...
Voilà Gilles c'est court, je suis un peu plus a l'aise a l'orale donc au plaisir de vous avoir au bout du fil ...
Très bonne reprise pour demain...
A bientôt !
Vincent
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